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21. Stress, Strepsil et insomnie...

Quelle pression, mes amis, quelle pression! J'avais pourtant cru survivre au stress de la préparation de l'album et me pensais vaccinée, eh bien non!   Blancs Manteaux, J-15 donc. Premières répétitions et bien sûr, alors que thermomètre annonce joyeusement 29°C, sorti de nulle part, le premier coup de froid! J'aurais pu me contenter de répéter calmement, de bien dormir, d'ingurgiter carottes, concombres et petits pois, mais non, c'était trop simple! Quand Stef! se lance dans une nouvelle aventure, il faut du sensationnel, du romanesque et bien sûr, du draaaaaaaame! C'est donc tout naturellement que j'ai attaqué mes répétitions la gorge en feu, fiévreuse, entre deux quintes de toux et trois kleenex! Aaah, sensation indescriptible du chatouillis dans la gorge retenu tout au long de Petite qui se venge et me prend au beau milieu de Dans la panade , précédant une crise expectorante d'une violence insoupçonnée! Je crois avoir effrayé l'un d

20. Quand faut y aller...

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Eh bien vo ilà, c'est officiel, les vacances sont terminées.  On a pourtant bien essayé de les faire durer encore un peu avec cette lessive parfumée aux fleurs d'Ylang Ylang, ce yaourt aux saveurs exotiques de pastèque tunisienne ou ce joli fond d'écran de Chasseneuil-du-Poitou. Non et non, il faut bien, comme Brigitte, se résoudre à ranger nos chouettes vacances dans nos valises en carton, parce que cette fois-ci c'est bien fini! Inutile pourtant de se lamenter. Soyons même un peu honnêtes. Est-ce qu'elles ne nous pas épuisés ces vacances? Tous ces voyages? Ces apéros? Ces excursions en famille à Nigauds Land? Ces Macumba, elle danse tous les soirs ? Avouons-le, c'est la rentrée, on est crevés, la boîte emails et le panier à linge sale débordent, on a pris 3 kilos et pour finir, on est complètement fauchés! On peut donc le dire haut et fort : il était temps que ça s'arrête! D'autant qu'elle nous réserve plein de chouettes surprises cette rentrée,

19. Je m'interroge...

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Dites, ôtez-moi d'un doute... chez vous aussi il pleut? Comprenez-moi bien, ça n'est pas que la pluie me dérange, loin de là. Ça a plein de bon côtés la pluie: ça sent bon, ça fait des claquettes, ça fait sortir les ceps et les belles de nuit (fleurs ou autres), ça évite de se ruiner en petite robes à bretelles pendant les soldes, de galérer vingt minutes pour allumer le barbecue, ou de bouffer du sable à la pelle pendant un match de beachvolley et de se faire - en plus! - engueuler alors qu'on avait bien prévenu qu'on ne savait PAS y jouer à ce jeu pourri!!!  Il va de soi qu'aucun de ces exemples n'est autobiographique.  Tout ça pour dire qu'il pleut et que je m'interroge. Mais pourquoi donc vous étonnez-vous? Installez-vous que je vous raconte un peu. Comme je vous l'avais dit, je suis donc partie enchanter les rues de La Rochelle de mes joyeuses trilles à l'occasion des Francofolies . Je vais être honnête, ce ne fut pas ce qu'on appelle

18. Voilà l'été, voilà l'été...

Eh ben voilà, on y est... Il est revenu le temps des tongs et des jupes légères, des chemises qui s'ouvrent sur des torses velus, des barbecues, de la pétanque, des vide-greniers, des juilletiens, des aoutistes, des "quand est-ce qu'on arrive?", de Fort Boyard, des japonais, des tournesols et des abricots. Vous sentez? Hummmm... ça fleure bon le basilic, le melon et le jambon, le karité et le pastis, l'huile solaire et les merguez, les chouchous, les beignets et les sardines grillées... On a lâché les cyclistes pour leur promenade annuelle, abandonné Mamie sur l'aire du Poulet de Bresse (A39), marié le Prince Albert et (mais?) rejeté le mariage gay à l'assemblée, diplômé les bacheliers, augmenté le gaz et l'électricité, les timbres et les tickets de métro, aucun doute possible, c'est bien l'été! Ce que confirme encore l'écho râleur des piliers du comptoir de l'Amical'Bar : "Cette chaleur, c'est insupportable, tu peux p

17. C'est pas parce qu'on n'a rien à dire...

Croyez-le ou non... aujourd'hui, je n'ai rien à dire!  Moi!!! Stef! Qui ai toujours une petite anecdote savoureuse, une petite opinion contestable, un petit ragot à colporter, un petit coup de gueule sous le coude (oui, il m'arrive en effet d'avoir parfois la gueule sous le coude, je suis très souple, je fais du stretching). On nage en pleine science-fiction diront certains. Ça nous repose diront d'autres. On s'en fiche diront les supporters du PSG. Je peux prendre le dernier croissant? dira encore ma copine Valérie. Je ne peux blâmer personne car enfin est-ce possible? Ce matin, fidèle à mes habitudes, je m'installe devant l'ordinateur, prête à séduire le monde de mes assauts malicieux. J'attends... Impatiente j'attends... et rien!  Pourtant le café est bien là, fumant... La pluie pleure sur les carreaux de mes fenêtres installant une ambiance dramatique propice à m'inspirer une envolée empreinte toute à la fois de douce mélancolie

16. Sans rancune...

Coucou les gens et bienvenue à tous les nouveaux qui nous rejoignent cette semaine... Alors, dites-moi un peu. Comment ça s'est passé cette semaine? Pas trop difficile? Certains d'entre vous n'ont pas pu venir assister à mon concert samedi dernier et ce serait bien qu'on en parle je trouve. Je vous assure que c'est important que nous échangions sur ce que vous ressentez vraiment. Vous ne devez pas retenir vos émotions comme vous le faites.  Laissez-vous aller, libérez-vous... Vous vous sentez comment au juste? Coupables?  En colère? Déçus? Vides? Vous m'en voulez un peu peut-être? C'est tout à fait normal. Vous devez savoir que toutes ces réactions sont saines, naturelles . Vous devez aussi savoir que je ne vous en veux pas. Enfin pas trop. Je dois par contre être tout à fait honnête avec vous : vous avez manqué un concert exceptionnel. Intime, chaleureux, convivial et, il faut bien l’avouer, d'une qualité artistique incomparable. Avec juste ce qu