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50. Fillosophie

Figurez-vous que ça fait déjà deux fois. Deux fois qu'on me signifie que j'écris des chansons 'de filles'. J'avoue que je ne sais pas trop comment je dois le prendre. Comme je suis depuis belle lurette arrivée à la conclusion que je suis une fille cette assertion ne me semblerait - a priori - ni franchement insultante ni tout à fait dépourvue de fondement. Le ton de la déclaration par contre, pas expressément péjoratif mais empreint d'une bienveillance mielleuse toute autant qu'équivoque, me paraît autrement plus douteux. Toutefois, au cas où,  il me semble opportun de présenter mes excuses aux messieurs qui, par hasard ou par erreur, auraient été séduits par mes facétieux refrains. Soyez assurés de mes regrets les plus sincères. Ceci étant dit, je dois bien avouer que cette réflexion me laisse définitivement perplexe... Si je signe un répertoire 'de filles', James Brown quant à lui écrivait-il des chansons 'de noirs'? Et Trenet? Des chan

RECLAME : EUROVARTO QUOI?

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Lundi 17 Juin à 20h aura lieu la 21ème édition de l' Eurovartovision . Vous ne connaissez pas encore cette parodie déjantée du concours de l'Eurovision organisée tous les ans par Vartoch? Vous ne serez pas déçus! C'est l'occasion aussi de faire sa BA! Les fonds collectés iront cette année à Le Refuge qui lutte contre l'homophobie et la discrimination sexuelle bref, une bonne soirée, pour une bonne cause!  Pour ma part, j'aurais le bonheur, le plaisir et la folie de représenter la FRAAAANCE! Alors, enfants de la patrie, allons! Venez nombreux! Réservations : Billetreduc.com

49. Toute à trac

C'est chaque fois la même chose, comme un rituel désormais établi... Soigneusement d'abord, je choisis la musique de fond appropriée, en l’occurrence Schubert et Horovitz enchantent délicatement ma platine. Je vérifie ensuite que le téléphone portable est bien éteint avant de m'installer confortablement devant mon ordinateur. Sur la table, ma tasse de café fumant refroidit lentement tandis que sur l'écran vierge, le curseur clignote, impatient que je commence ma rédaction. Je suis prête. Prête à laisser le clavier prendre ma parole. Moi, STEF!, reine des bavardes, souveraine des pipelettes, infante des jacasses, de quoi vais-je bien pouvoir cette fois vous entretenir, insatiables blogophages que vous êtes? Car à quoi bon bloguer si c'est pour ne rien dire, je vous le demande... Cette semaine, le prétexte à mes extravagances s'impose de lui-même. Vous l'avez d'ailleurs immédiatement remarqué en arrivant sur votre blog préféré. Comment, comment... Vou

48. J moins trouille...

Vous le croirez si vous voulez, mais voilà que ça me reprend! Oui, encore! On pourrait penser qu'à force je serais immunisée, mais non. Chaque fois que l'ombre de l'ombre d'une Première se dessine plus ou moins distinctement à l'horizon, j'ai la trouille. Une Première me concernant, cela va sans dire (mais je le dis quand même, au cas où ce ne serait pas clair pour certains). On remarquera au passage la discrétion avec laquelle je signale  à mes lecteurs que je m'apprête à (re)monter sur les planches. Donc je remets ça et, par voie de conséquence, j'ai tout à la fois les chocottes, les jetons, les foies, les pétoches, la chair de poule, les miches qui font bravo et les jambes en coton! C'est assez ridicule je vous l'accorde, vu que ce n'est pas la première fois que je pousse mes chansonnettes ni que je fais la comique sur une scène et qu'à bien y réfléchir, c'est tout de même plus approprié que de faire ça dans ma baignoire. Qu

47. Moyen courrier...

En ce matin aux nues brumeuses, tout comme moi qui n'ait pas encore bu mon café, figurez-vous que j'en tombe, des nues.  Un lecteur assidu, dont je préserverai ici l'anonymat (d'autant mieux que je ne le connais pas) m'envoie ses réclamations. Oui, vous avez bien lu, ses réclamations! Voilà qui réveille mieux que le plus fort des cafés! Bon. Je dois accorder à Monsieur X. que son mail plein d'humour m'a bien fait rigoler! Et puis après tout, pourquoi pas? Faisons preuve ici de clémence et d'ouverture d'esprit. Cette remarque n'est peut-être pas tout à fait infondée... Je suis très certainement soucieuse de faire le bonheur de mes lecteurs, je veux donc me soucier aussi de tenir compte de leurs remarques constructives, quoique contrariantes à l'heure où, je le répète, je n'ai pas encore avalé mon café du matin!  Il semblerait donc que je farcisse généreusement mes bafouilles d'accès d'humeur mauvaise et de coups de gueule i

46. Maux d'humour

Suis-je normale? Je m'interroge.  Il serait probablement plus simple d'interroger mon entourage mais je connais déjà sa réponse : un NON catégorique, massif et spontané. Toutefois, que personne ne s'offense, la fiabilité dudit entourage me paraît douteuse. Je préfère donc m'abstenir de tout sondage et me lancer courageusement dans une introspection au verdict incertain tout autant qu'angoissant. Étudions un peu les faits, voulez-vous? Nous avons vu dans un billet précédent - billet n° 45 pour les distraits - que le printemps revient et avec lui, des envies joyeuses de sorties ensoleillées entre amis. Si on allait boire un verre en terrasse? Si on sortait les chips barbecue et les gobelets en plastique pour un pique-nique sur le Canal Saint Martin? Eh! Pourquoi se priver? Les guitaristes sortent bien du métro pour s'installer sous les arcades de la Place des Vosges! Paris la coquine nous fait de l’œil! Même les salles de spectacles jouent les aguicheuses

45. Anormale saisonnière

Ça y est! Enfin! Il est là! Comment ça "NON"? Qui a dit "NON"? C'est nul ce "NON", c'est miteux même. Ça m'aurait étonné aussi qu'il n'y en ait pas un pour faire du mauvais esprit! Qu'est-ce que c'est encore que ce bête esprit de contradiction: "NON"? Vous vous croyez malin? Eh bien, permettez-moi de vous dire que cette attitude atrabilaire...  (Là, je prends un petit temps. C'est pour ça les points de suspension, pour le petit temps. D'abord pour savourer l'effet produit par l'usage du mot atrabilaire sur le lecteur ébloui par l'étendue de mes connaissances sémantiques et ensuite parce je suis particulièrement fière d'avoir réussi à placer ce mot dans le contexte approprié et que ça mérite bien un Granola!)... Cette attitude disai-je, ne vous mènera nulle part! Regardez-donc plutôt autour de vous, j'invente peut-être? Et ces pantacourts fluos qui fleurissent aux vitrines? Et ces fraise

44. Pas très cathodique

Le technicien chargé du relevé de mon compteur EDF n'en est pas revenu. Sur la chemise - autrefois - blanche, là où battait son cœur, le badge de Boniface Blandamour (ça ne s'invente pas!) proclamait fièrement Technicien de contrôle . Quoique cela ne relevât pas de ses fonctions officiellement attribuées de releveur électrique, c'est sans doute pour ne pas trahir le glorieux insigne que ce bon Boniface non content de contrôler mon compteur a aussi jugé bon d'examiner tout mon appartement. Fort heureusement, "tout mon appartement", chez moi, c'est assez vite fait! Du salon à la chambre en passant par la salle de bain, parce qu'on ne sait jamais, il y a de ces orignaux parfois, tous les recoins ont été soigneusement inspectés. Mais rien. Non, rien de rien. Éberlué, inquiet presque, Mr Blandamour a d'abord choisi d'emprunter le mode interrogatif. Avec une voix lente et posée, celle que l'on prendrait pour s'adresser aux tout petits en

43. Saint phobie

Que les choses soient bien claires : je déteste la Saint Valentin.  Que les choses soient même bien vulgaires : aux chiottes la Saint Valentin!!!!   Vous, lecteurs assidus de ce blog délectable, savez comme je suis peu coutumière de la vulgarité. Toutefois, il est des sujets avec lesquels il est inutile de finasser. Vous me pardonnerez donc très certainement cette nouvelle saillie : elle me les brise menu, menu, cette Saint Valentin de merde! Y a pas à dire, la vulgarité, parfois, ça soulage! Soyez sans crainte, il ne s'agit pas ici d'un nouveau pamphlet prétextant que les vrais zamoureux s'aiment 365 jours par an et qu'il n'est pour eux nul besoin de calendrier pour se griser de Champagne, emprunter les mots d'Aragon ou de Hervé Vilard afin de déclarer leur flamme et offrir humblement leur cœur à leur  bon(ne) ami(e) sur un plateau d'huîtres entre un bouquet de fleurs, trois chandelles et un écrin à bijoux... On vous l'a pourtant dit et répété:

42. Faites vos voeux!

Aaaah!  Aujourd'hui, inutile de me creuser la citrouille pour trouver le thème de cette fabuleuse chronique à l'image non moins fabuleuse de son auteure, je veux dire par là toujours plus fine (10 kilos de moins, ça n'est pas rien, surtout après les macarons au foie gras, les macarons aux huîtres, au vacherin et/ou aux marrons parce que si vous avez réussi à échapper aux macarons qui ont envahi les tables des fêtes de fin d'année, je vous félicite!), et toujours plus savoureuse (comme quoi allégée n'est pas nécessairement synonyme de fadasse, comme le sait toute adhérente de Weight Watchers qui se respecte). Certes, alors que 2013 balbutie confusément ses premiers maux, j'aurais pu choisir de vous adresser mes meilleurs vœux. Toutefois, 2012 m'a servi de leçon avec son cortège funèbre d'espoirs déçus, de désenchantements brutaux et autres surprises douteuses telle cette gastro fulgurante qui m'a terrassée le soir du réveillon, allégorie ultime

41. Et der de douze

Bon. Ben rebelote. Je crois bien qu'il faut que je m'y remette. Moi qui pensais que c'était la fin du blog. J'ai laissé traîner, histoire d'être sûre, mais il faut que je me rende à l'évidence, je me suis fait avoir par les Mayas et leur prédiction à la noix de pécan.   Ce qui prouve au passage que les Précolombiens n'étaient pas les derniers en matière de rigolade et qu'on savait se gondoler bien avant Jésus Christ.  C'est qu'entre deux incantations et trois sacrifices, on se marrait drôlement au fin fond des pyramides! Si ça se trouve, après avoir vidé deux ou trois cruches sacrées de mezcal, Macareno et Quesadillo  se sont engueulé rapport à la partie de jeu de balle de l'après-midi. Oui, outre Longjumeau et Soignolles-en-Brie, je suis également allée à Chichen Itza où vous ne manquerez pas de visiter le temple sacré avec son célèbre serpent à plumes et ses 365 marches, d'admirer son charmant Mur de Crânes Sacrifiés et pou

40. "Sans le gouvernement, on ne rirait plus en France" Chamfort

Je viens de tomber la dessus dans mon dico des citations, à  Gouvernement. Je n'ai aucune idée de qui est Chamfort? C'est la honte. Heureusement qu'on ne m'a pas posé la question au Trivial Pursuit , j'aurais pas eu le camembert marron et celui là je l'ai en général.  Bref, si on parlait un peu politique pour changer? Oh, ça va! On peut bien rigoler un peu tout de même! D'autant  plus que côté rigolade, ces jours-ci, on est plutôt gâtés! On voit que Noël approche! On nous répète à longueur de journaux que c'est la criiiiiiiiiiiiise. Mais on oublie de préciser de rire ! Ha! ha! Elle est bonne, non?  La crise de rire! Bon. Ca va. J'ai compris, je remballe. De toute façon, la politique c'est pas mon truc. Je ne suis pas une chanteuse engagé e. Q uel que soit le sens qu'on veuille accor der à cette expression d'ailleurs!  ...   Je vous signale tout de même qu'en d'autres temps, elle aurait fait rire plus d'un b

39. Justes noces...

Quelle ironie! Alors que j'entame le 39ème billet de ce blog toujours plus spirituel, je réalise, curieuse coïncidence, que tels les feuilles jaunies des robiniers majestueux de l'avenue Gambetta balayées par le vent d'automne, mes 39 ans achèvent imperceptiblement leur valse folle... Dites, si ce blog est toujours plus spirituel vous noterez qu'il est également toujours plus poétique et même, toujours plus instructif! Des robiniers, m'sieurs, 'dames! Hein? Avouez qu'elles vous épatent un brin de cerfeuil  mes connaissances arboricoles! Tenez, j'en profite pour porter à la votre, de connaissance, que les robiniers sont également appelés sophoras. Et toc! Comme quoi, si certains chauffeurs de taxi affectionnent les balourdises de Rires & Chansons tandis que d'autres s'émeuvent aux gauloiseries des Grosses Têtes , d'autres encore,  plus rares certes,  semblent être un peu moins cons que leurs confrères voire bucoliques!   Mais je m&

La nouvelle affiche de Stef!

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Mesdames et Messieurs, avec la complicité de l'Artiste Pitre  ... La VOILA!    Avec la complicité de l'Artiste Pitre  

38. Cor(d)espondance

Coucou Alain! Eh oui, aujourd'hui ça m'a pris d'un seul coup. Comme une envie de Coca Zéro bien frais après que je me sois tapé la rue de Bagnolet à vélo (parce que même avec mon vélo électrique, la rue de Bagnolet, faut se la coltiner tu sais!). Bref, aujourd'hui,  j'avais envie de t'écrire et comme je ne savais pas trop comment m'y prendre, je me suis dis que ce blog ferait aussi bien l'affaire. C'est moins rigolo que nos échanges de cartes postales douteuses mais bon... J'espère au moins que tu as souscrit un abonnement Internet là-haut. C'est que tu me manques un brin tu sais... Avant toute chose, je te signale que tu es parti sans me donner les réponses des contrepèteries que tu m'avais envoyées! J'ai bien résolu J'ai un chalet à Biote , mais pour les autres, je sèche encore... Tu es tordu tu sais! Au fait, Monsieur et Madame LACOUVERTUREMEGRATTE, ont une fille? Alors? Tu donnes ta langue au chat? C'est Sandra!

37. Chansonnique anonyme...

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Parlons un peu chanson, voulez-vous?  C'est que j'aime ça moi, les chansons. Les chansons .  Même le mot est joli, vous ne trouvez pas? Rapprochez les lèvres, arrondissez la bouche et, tout doucement, prononcez chan... son... Vous avez remarqué? C'est comme donner un baiser. Étrange où va parfois se cacher la volupté... Certains sont boulimiques, d'autres alcooliques, je crois que je suis... chansonnique ? Bonjour, je m'appelle Stef! et je suis chansonnique.  (Bonjour Steeeeef!) J'écoute des chansons tous les jours. Et toutes les nuits. A n'importe quelle heure.   J'écoute des chansons même dans mes rêves. J'écoute des chansons partout: à la cuisine, à la plage, à vélo, au bistro. J'écoute des chansons en pyjama, en maillot de bain, en talons aiguilles, en col roulé.  J'écoute des chansons toute seule, en famille, entre amis.   Je ne peux pas m'en passer.  Je ne veux pas m'en passer.  C'est que mo

36. Rimes riches...

Loose...  Flouze...  Blues...  Bouse... Picouse... Jalouse... Tarlouse...   En y repensant, j'aurais peut-être dû me méfier le 31 décembre dernier avant de siffler ma coupe de mousseux tiédasse : une année qui rime en [uz] ne pouvait pas être un bon cru. Le mousseux non plus, maintenant que j'y songe... Non seulement les rimes en [uz] ne sont pas nombreuses mais en plus, elles ne sont pas  jolies jolies! Binouze ? Barbouze ? Partouze ? Ventouse ? Avouez que tout ça n'invite pas franchement au délire poétique! A part peut-être, Patrick Sébastien? Toute règle a son exception je suppose. Mais pour ma part, ces rimes qui se prétendent riches, mériteraient qu'on les vire du Robert pour tromperie et abus... de langage! Bref, j'aurais bien dû me douter que 2012 tiendrait plus de la picrate rance que du Vosne Romanée. J'aurais aussi dû recracher ce mousseux infect.  D'un autre côté, à tout saigneur tout honneur (jeu de mots). Il faut savoir être beau jo

35. Bien rentrés?

Eh bien, ça y est, cette fois c'est fini...  Fini? Comment ça fini? Quoi donc fini, vous demandez-vous paniqués par cette mystérieuse entrée en matière? Eh oui, c'est qu'à force de vous écrire, je vous connais un peu vous savez... Mais alors? A quelle nébuleuse agonie fais-je donc allusion ci-dessus? Les vacances? La vague de chaleur? La saison douce des abricots juteux gorgés de sucre et de soleil? Le temps où, naïf, on les croyait encore ces douces promesses estivales, sentimentales, électorales ou autres... Eh bien oui, tout ça, c'est comme Capri, c'est fini. Inutile de zieuter l'écran de votre ordinateur avec ce regard abruti de Charolaise qui regarde passer le Paris-Roanne de 14h19, vous avez parfaitement compris. Même, vous étiez prévenus.  Vous le saviez très bien quand vous avez décidé que cette année, vous iriez camper dans le Gers avec les Boudoni parce qu'il paraît que c'est très joli le Gers, que le camping c'est une façon tr

34. Carte postale

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On a beau dire, les vacances, ça a du bon : on change d'air, on se ressource, on fait des découvertes, des rencontres... En plus, quand on revient, on a plein de chouettes souvenirs et je ne parle pas ici de l'affreux Tshirt I love Nouillorc dégotté au bar tabac local pour Tonton Norbert mais des fous rires, des interminables parties de pétanque sous les platanes et autres couchers de soleil. On revient aussi avec plein de nouveaux sujets de conversation dans la valise avec lesquels on pourra briller en société! C'est merveilleux!  On a bien quelques kilos en trop, et plus un sou dans le crapaud, mais qu'importe! Tenez, moi qui vous parle par exemple, je reviens d'Irlande. J'en profite pour faire une petite parenthèse. Vous savez que ça m'aurait fait plaisir qu'on parle de vous pour changer? Parce qu'on ne peut pas dire que vous soyez très causant. Très franchement, je trouve que ce n'est pas évident d'avoir une conversation avec vous.

33. Summertime, and the living is easy...

Chers amis, figurez-vous que c'est l'été! Du moins c'est ce que prétendent les journaux féminins, mais peut-on vraiment se fier à ce type de presse, je vous le demande, Fernande? Vous me direz, sur les ondes, Joël Collado, persiste lui aussi à affirmer que l'été est bien arrivé et ce, bien que la météo semble démentir incontestablement cette information! Alors si on ne peut pas  faire confiance à la radio non plus, je pose la question : où va-t-on, Raymond? Et pourtant, c'est bien l'été. Revoici donc venu le temps joli des festivals et l'occasion de prendre la route pour découvrir autant de jolies communes (et de spécialités gastronomiques, ça va de soi!). Petit tour d'horizon.  A Laroquebrou, déhanchez-vous gaiement au Festival International de Boogie Woogie ! Envie de Mojito et de salsa? C'est à Vic Fezensac qu'il faut aller! Au festival Tempo Latino , LE festival de salsa (génial, certes, mais épuisant! Mesdames, si comme moi vous aime