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92. Tombe la neige...

Ce matin, je me suis levée. Jusque là rien que de très ordinaire. D'ailleurs vous me direz sans doute que c'est assez fréquent, mais si c'est juste pour m'énerver que vous me faites des réflexions idiotes alors j'aime autant vous dire que c'est pas la peine, parce que je me suis levée oui, mais ça veut pas dire que c'était du bon pied! Du reste, attendez un peu, vous allez voir. Parce que pendant que je dormais, il s’est passé un truc. Subrepticement, sournoisement même, un voile de neige est tombé. Oh pas sur la ville non. D'ailleurs, ces derniers temps, sur les toits de Paris c'est plutôt un voile de pollution gris et moche qui s'est insidieusement déposé. Infiniment moins poétique si vous voulez mon avis et le pire c'est qu'on s'y habitue... Beurk! Pour en revenir à mon histoire de voile neigeux, c'est pas le genre joli voilage du quatrième étage du BHV dont je vous parle,  ni le genre poudreuse matinale de Val d'Isère, n

87. Crache misère

Maintenant ça suffit ! Oui, je sais, il y avait longtemps depuis mon dernier coup de gueule, mais que chacun se rassure, je vais me rattraper! Alors, c'est parti, accrochez-vous aux branches, ça va pas être triste, parce que j'en ai vraiment ras le Nespresso. Je m'en vais d'abord vous narrer l'origine de mon juste courroux (coucou) par le menu (menu). A défaut de l'autobus S, qui n'est plus en service depuis une paye, je prenais l'autre jour le métro. Ce sont des choses qui arrivent quand on est parisienne. Ou toulousaine, ou marseillaise soit dit en passant. En l’occurrence j'avais choisi le bleu de la ligne 2 direction Nation pour les ceusses que mes trajets souterrains passionneraient, même que je changeais à La Chapelle, histoire d'ajouter encore au folklore. Jusque là, vous avouerez que niveau scénario, on est loin de  Piège de cristal . Je longeais donc paisiblement les couloirs souterrains découvrant au hasard des affiches que Maître