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99. Festival estival !

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Bon d'accord je vous ai un peu laissé tombés. Mais j'ai une vie aussi. Ou plutôt une laaaaïfe comme le disent fort à propos (et fort théâtralement!) mes petits élèves anglophones. Si vous croyez que c'est easyyyy de décrocher, de prendre le temps d'un blog, juste comme ça, parce que l'envie m'en prend. Eh bien non. C'est très compliqué. Ça demande de l’organisation, de la planification; de l'inspiration même! Et puis, j'ai des obligations. Jouer les cigales, quoiqu'en pense Monsieur De la Fontaine, c'est du boulot. A moins de vous mitonner une lazagne entre trois et cinq du mat', je ne vois pas comment j'aurais pu vous poster quoique ce soit depuis le mois de juin. Alors inutile de me faire tout un flan aux œufs. D'autant que ces jours-ci, les œufs, vous feriez mieux de faire attention (sans pour autant virer vegan, ce serait excessif et fort peu convivial, surtout lors d'un barbecue entre amis, cf post 97 ) !  Si je suis

7. En chantant...

Deuxième jour d'enregistrement et après 8h de studio,  je commence à ressentir un certain respect pour Michel Sardou...  Comprenez-moi bien, je ne parle pas ici de l'interprète des inoubliables Femme des années 80, La java de Broadway, ou encore Je ne suis pas mort je dors , mais du type qui a enregistré plus d'une vingtaine d'albums...  Certes, si l'on se place du point de vue de l'auditeur, le résultat n'est rien d'autre que pénible voire douloureux.  Si, en revanche, on se place du point de vue de Mimi, c'est quand un même un sacré boulot!  Et là, maintenant que j'entrevois ce que c'est,  je dis respect. Toutes ces heures, enfermé dans la cabine du studio , seul à seul face au micro, à reprendre encore et encore   Tu m'as donné de beaux enfants Tu as le droit de te reposer maintenant Là encore, on imagine aisément le calvaire de l'ingénieur du son, peut-être même les séquelles physiques causées par ces enregistrements. Que l