Articles

34. Carte postale

Image
On a beau dire, les vacances, ça a du bon : on change d'air, on se ressource, on fait des découvertes, des rencontres... En plus, quand on revient, on a plein de chouettes souvenirs et je ne parle pas ici de l'affreux Tshirt I love Nouillorc dégotté au bar tabac local pour Tonton Norbert mais des fous rires, des interminables parties de pétanque sous les platanes et autres couchers de soleil. On revient aussi avec plein de nouveaux sujets de conversation dans la valise avec lesquels on pourra briller en société! C'est merveilleux!  On a bien quelques kilos en trop, et plus un sou dans le crapaud, mais qu'importe! Tenez, moi qui vous parle par exemple, je reviens d'Irlande. J'en profite pour faire une petite parenthèse. Vous savez que ça m'aurait fait plaisir qu'on parle de vous pour changer? Parce qu'on ne peut pas dire que vous soyez très causant. Très franchement, je trouve que ce n'est pas évident d'avoir une conversation avec vous.

33. Summertime, and the living is easy...

Chers amis, figurez-vous que c'est l'été! Du moins c'est ce que prétendent les journaux féminins, mais peut-on vraiment se fier à ce type de presse, je vous le demande, Fernande? Vous me direz, sur les ondes, Joël Collado, persiste lui aussi à affirmer que l'été est bien arrivé et ce, bien que la météo semble démentir incontestablement cette information! Alors si on ne peut pas  faire confiance à la radio non plus, je pose la question : où va-t-on, Raymond? Et pourtant, c'est bien l'été. Revoici donc venu le temps joli des festivals et l'occasion de prendre la route pour découvrir autant de jolies communes (et de spécialités gastronomiques, ça va de soi!). Petit tour d'horizon.  A Laroquebrou, déhanchez-vous gaiement au Festival International de Boogie Woogie ! Envie de Mojito et de salsa? C'est à Vic Fezensac qu'il faut aller! Au festival Tempo Latino , LE festival de salsa (génial, certes, mais épuisant! Mesdames, si comme moi vous aime

32. Lasciatemi cantare!

Image
Les amis, posons-nous un peu voulez-vous? C'est que ça fait un petit moment que nous n'avons pas bavardé vous et moi. D'ailleurs c'est l'heure de l'apéro! Sortons antipasti et petit blanc (sans vouloir faire de réclame, le Moscato d'Asti pas dégueu de chez Nicolas, par exemple), installons-nous confortablement et causons un peu pendant que les melanzane alla parmiggiana dorent doucement dans le four que vous aurez préchauffé à 180° (TH. 6) . Oui l'été approche et je traverse une phase italienne, d'ailleurs, une petite minute, je lance immédiatement le CD de Richard Cocciante! Aaaaaaaah... On n'est pas bien?  Alors, dites-moi, comment ça va? Le travail? I bambini? Vous partez en vacances? Comment ça? Ah bon? Bien sûr, bien sûr, je comprends... Avec la crise... Remarquez, c'est très surfait l'Ile Maurice vous savez et puis il y a la mer aussi à Dieppe... Reprenez donc un crostini. De toute façon, si je vous posais la question

31. Complètement débloguée!

Tenez-vous un blog? Et si oui, êtes-vous comme moi?  Que tout le monde se rassure, ce n'est pas pour un sondage vu que personnellement, j'en ai soupé ces dernières semaines, des sondages! Non, je m'explique.  J'adore écrire. Enfin pour être exact, plus j'écris -chansons, blog, dossiers divers et même lettres administratives!- plus je découvre à quel point j'aime écrire. C'est fou, non? D'ailleurs une fois lancée, il m'est souvent difficile de mettre un point final à mes rédactions (j'imagine que vous l'aviez remarqué!).  Résultat, mes chansons durent de 4 à 6 minutes et ne sont pas, selon certains 'professionnels' que nous désignerons ici par Gros Nuls Productions,  [...] conformes aux formats actuels de diffusion et de fait, pas adaptées au public d'aujourd'hui. Nous vous remercions toutefois de nous avoir contactés et vous souhaitons bonne chance pour la suite. Avec nos meilleurs blablabla... Pardon

30. Panne d'aisance....

Ça devait bien finir par arriver un jour... Mais quand même on a beau le savoir, s'y attendre même, ça surprend toujours et puis surtout, ça énerve!  La panne.  Si encore, ce n'était qu'une simple panne de voiture... Bon. Je n'ai pas de voiture, mais il n'empêche, ça pourrait m'arriver quand même! Et là, permettez moi de vous dire que je saurais quoi faire! Pour commencer, je me mettrais en colère et je ferais ça comme il faut: je proférerais tout d'abord rageusement toutes les injures que je connais, au besoin, j'en inventerais quelques-unes. En français d'abord, puis en anglais et pour finir, en espagnol! Il me semble important de conserver un certain panache, même dans l'adversité.  Ensuite, vaguement calmée, un peu nouille, je tournerais à nouveau 7 ou 8 fois la clé de contact sans comprendre pourquoi l'auto ne se remet pas miraculeusement en marche par la simple force de ma volonté? Gourde, je finirais probablement par sortir de

29. Et voilà, c'est fini...

Oui, oui, ok, j'avoue. Je ne me suis pas trop foulée pour le titre de ce message. Je l'ai piqué à Jean-Louis Aubert, qui ne m'en voudra pas trop j'espère, d'autant que, entre nous, il a quand même fait mieux. Mais c'est simple, concis, efficace alors  pourquoi me torturer le cortex pour trouver un titre spirituel? Là, on comprend d'emblée. Donc... Si vous avez un tout petit peu suivi, dimanche dernier, c'était la dernière de mes Chansons à voir aux Théâtre les Blancs Manteaux. Il serait franchement inexact de qualifier ce moment de triste. Et vous savez comme je n'aime pas l'inexactitude! Pourt résumer sobrement, c''était d'enfer! Du monde, des fous rires, un pianiste en pleine forme, une chaleur abominable, une bière infecte, tiède de surcroît, des rappels je ne vous dis que ça, bref tout ce que j'aime!  Pour autant, je me dois d'être honnête et d'avouer, peu fière, qu'une fois rentrée à la maison, j'avai