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Affichage des articles du 2012

41. Et der de douze

Bon. Ben rebelote. Je crois bien qu'il faut que je m'y remette. Moi qui pensais que c'était la fin du blog. J'ai laissé traîner, histoire d'être sûre, mais il faut que je me rende à l'évidence, je me suis fait avoir par les Mayas et leur prédiction à la noix de pécan.   Ce qui prouve au passage que les Précolombiens n'étaient pas les derniers en matière de rigolade et qu'on savait se gondoler bien avant Jésus Christ.  C'est qu'entre deux incantations et trois sacrifices, on se marrait drôlement au fin fond des pyramides! Si ça se trouve, après avoir vidé deux ou trois cruches sacrées de mezcal, Macareno et Quesadillo  se sont engueulé rapport à la partie de jeu de balle de l'après-midi. Oui, outre Longjumeau et Soignolles-en-Brie, je suis également allée à Chichen Itza où vous ne manquerez pas de visiter le temple sacré avec son célèbre serpent à plumes et ses 365 marches, d'admirer son charmant Mur de Crânes Sacrifiés et pou

40. "Sans le gouvernement, on ne rirait plus en France" Chamfort

Je viens de tomber la dessus dans mon dico des citations, à  Gouvernement. Je n'ai aucune idée de qui est Chamfort? C'est la honte. Heureusement qu'on ne m'a pas posé la question au Trivial Pursuit , j'aurais pas eu le camembert marron et celui là je l'ai en général.  Bref, si on parlait un peu politique pour changer? Oh, ça va! On peut bien rigoler un peu tout de même! D'autant  plus que côté rigolade, ces jours-ci, on est plutôt gâtés! On voit que Noël approche! On nous répète à longueur de journaux que c'est la criiiiiiiiiiiiise. Mais on oublie de préciser de rire ! Ha! ha! Elle est bonne, non?  La crise de rire! Bon. Ca va. J'ai compris, je remballe. De toute façon, la politique c'est pas mon truc. Je ne suis pas une chanteuse engagé e. Q uel que soit le sens qu'on veuille accor der à cette expression d'ailleurs!  ...   Je vous signale tout de même qu'en d'autres temps, elle aurait fait rire plus d'un b

39. Justes noces...

Quelle ironie! Alors que j'entame le 39ème billet de ce blog toujours plus spirituel, je réalise, curieuse coïncidence, que tels les feuilles jaunies des robiniers majestueux de l'avenue Gambetta balayées par le vent d'automne, mes 39 ans achèvent imperceptiblement leur valse folle... Dites, si ce blog est toujours plus spirituel vous noterez qu'il est également toujours plus poétique et même, toujours plus instructif! Des robiniers, m'sieurs, 'dames! Hein? Avouez qu'elles vous épatent un brin de cerfeuil  mes connaissances arboricoles! Tenez, j'en profite pour porter à la votre, de connaissance, que les robiniers sont également appelés sophoras. Et toc! Comme quoi, si certains chauffeurs de taxi affectionnent les balourdises de Rires & Chansons tandis que d'autres s'émeuvent aux gauloiseries des Grosses Têtes , d'autres encore,  plus rares certes,  semblent être un peu moins cons que leurs confrères voire bucoliques!   Mais je m&

La nouvelle affiche de Stef!

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Mesdames et Messieurs, avec la complicité de l'Artiste Pitre  ... La VOILA!    Avec la complicité de l'Artiste Pitre  

38. Cor(d)espondance

Coucou Alain! Eh oui, aujourd'hui ça m'a pris d'un seul coup. Comme une envie de Coca Zéro bien frais après que je me sois tapé la rue de Bagnolet à vélo (parce que même avec mon vélo électrique, la rue de Bagnolet, faut se la coltiner tu sais!). Bref, aujourd'hui,  j'avais envie de t'écrire et comme je ne savais pas trop comment m'y prendre, je me suis dis que ce blog ferait aussi bien l'affaire. C'est moins rigolo que nos échanges de cartes postales douteuses mais bon... J'espère au moins que tu as souscrit un abonnement Internet là-haut. C'est que tu me manques un brin tu sais... Avant toute chose, je te signale que tu es parti sans me donner les réponses des contrepèteries que tu m'avais envoyées! J'ai bien résolu J'ai un chalet à Biote , mais pour les autres, je sèche encore... Tu es tordu tu sais! Au fait, Monsieur et Madame LACOUVERTUREMEGRATTE, ont une fille? Alors? Tu donnes ta langue au chat? C'est Sandra!

37. Chansonnique anonyme...

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Parlons un peu chanson, voulez-vous?  C'est que j'aime ça moi, les chansons. Les chansons .  Même le mot est joli, vous ne trouvez pas? Rapprochez les lèvres, arrondissez la bouche et, tout doucement, prononcez chan... son... Vous avez remarqué? C'est comme donner un baiser. Étrange où va parfois se cacher la volupté... Certains sont boulimiques, d'autres alcooliques, je crois que je suis... chansonnique ? Bonjour, je m'appelle Stef! et je suis chansonnique.  (Bonjour Steeeeef!) J'écoute des chansons tous les jours. Et toutes les nuits. A n'importe quelle heure.   J'écoute des chansons même dans mes rêves. J'écoute des chansons partout: à la cuisine, à la plage, à vélo, au bistro. J'écoute des chansons en pyjama, en maillot de bain, en talons aiguilles, en col roulé.  J'écoute des chansons toute seule, en famille, entre amis.   Je ne peux pas m'en passer.  Je ne veux pas m'en passer.  C'est que mo

36. Rimes riches...

Loose...  Flouze...  Blues...  Bouse... Picouse... Jalouse... Tarlouse...   En y repensant, j'aurais peut-être dû me méfier le 31 décembre dernier avant de siffler ma coupe de mousseux tiédasse : une année qui rime en [uz] ne pouvait pas être un bon cru. Le mousseux non plus, maintenant que j'y songe... Non seulement les rimes en [uz] ne sont pas nombreuses mais en plus, elles ne sont pas  jolies jolies! Binouze ? Barbouze ? Partouze ? Ventouse ? Avouez que tout ça n'invite pas franchement au délire poétique! A part peut-être, Patrick Sébastien? Toute règle a son exception je suppose. Mais pour ma part, ces rimes qui se prétendent riches, mériteraient qu'on les vire du Robert pour tromperie et abus... de langage! Bref, j'aurais bien dû me douter que 2012 tiendrait plus de la picrate rance que du Vosne Romanée. J'aurais aussi dû recracher ce mousseux infect.  D'un autre côté, à tout saigneur tout honneur (jeu de mots). Il faut savoir être beau jo

35. Bien rentrés?

Eh bien, ça y est, cette fois c'est fini...  Fini? Comment ça fini? Quoi donc fini, vous demandez-vous paniqués par cette mystérieuse entrée en matière? Eh oui, c'est qu'à force de vous écrire, je vous connais un peu vous savez... Mais alors? A quelle nébuleuse agonie fais-je donc allusion ci-dessus? Les vacances? La vague de chaleur? La saison douce des abricots juteux gorgés de sucre et de soleil? Le temps où, naïf, on les croyait encore ces douces promesses estivales, sentimentales, électorales ou autres... Eh bien oui, tout ça, c'est comme Capri, c'est fini. Inutile de zieuter l'écran de votre ordinateur avec ce regard abruti de Charolaise qui regarde passer le Paris-Roanne de 14h19, vous avez parfaitement compris. Même, vous étiez prévenus.  Vous le saviez très bien quand vous avez décidé que cette année, vous iriez camper dans le Gers avec les Boudoni parce qu'il paraît que c'est très joli le Gers, que le camping c'est une façon tr

34. Carte postale

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On a beau dire, les vacances, ça a du bon : on change d'air, on se ressource, on fait des découvertes, des rencontres... En plus, quand on revient, on a plein de chouettes souvenirs et je ne parle pas ici de l'affreux Tshirt I love Nouillorc dégotté au bar tabac local pour Tonton Norbert mais des fous rires, des interminables parties de pétanque sous les platanes et autres couchers de soleil. On revient aussi avec plein de nouveaux sujets de conversation dans la valise avec lesquels on pourra briller en société! C'est merveilleux!  On a bien quelques kilos en trop, et plus un sou dans le crapaud, mais qu'importe! Tenez, moi qui vous parle par exemple, je reviens d'Irlande. J'en profite pour faire une petite parenthèse. Vous savez que ça m'aurait fait plaisir qu'on parle de vous pour changer? Parce qu'on ne peut pas dire que vous soyez très causant. Très franchement, je trouve que ce n'est pas évident d'avoir une conversation avec vous.

33. Summertime, and the living is easy...

Chers amis, figurez-vous que c'est l'été! Du moins c'est ce que prétendent les journaux féminins, mais peut-on vraiment se fier à ce type de presse, je vous le demande, Fernande? Vous me direz, sur les ondes, Joël Collado, persiste lui aussi à affirmer que l'été est bien arrivé et ce, bien que la météo semble démentir incontestablement cette information! Alors si on ne peut pas  faire confiance à la radio non plus, je pose la question : où va-t-on, Raymond? Et pourtant, c'est bien l'été. Revoici donc venu le temps joli des festivals et l'occasion de prendre la route pour découvrir autant de jolies communes (et de spécialités gastronomiques, ça va de soi!). Petit tour d'horizon.  A Laroquebrou, déhanchez-vous gaiement au Festival International de Boogie Woogie ! Envie de Mojito et de salsa? C'est à Vic Fezensac qu'il faut aller! Au festival Tempo Latino , LE festival de salsa (génial, certes, mais épuisant! Mesdames, si comme moi vous aime

32. Lasciatemi cantare!

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Les amis, posons-nous un peu voulez-vous? C'est que ça fait un petit moment que nous n'avons pas bavardé vous et moi. D'ailleurs c'est l'heure de l'apéro! Sortons antipasti et petit blanc (sans vouloir faire de réclame, le Moscato d'Asti pas dégueu de chez Nicolas, par exemple), installons-nous confortablement et causons un peu pendant que les melanzane alla parmiggiana dorent doucement dans le four que vous aurez préchauffé à 180° (TH. 6) . Oui l'été approche et je traverse une phase italienne, d'ailleurs, une petite minute, je lance immédiatement le CD de Richard Cocciante! Aaaaaaaah... On n'est pas bien?  Alors, dites-moi, comment ça va? Le travail? I bambini? Vous partez en vacances? Comment ça? Ah bon? Bien sûr, bien sûr, je comprends... Avec la crise... Remarquez, c'est très surfait l'Ile Maurice vous savez et puis il y a la mer aussi à Dieppe... Reprenez donc un crostini. De toute façon, si je vous posais la question

31. Complètement débloguée!

Tenez-vous un blog? Et si oui, êtes-vous comme moi?  Que tout le monde se rassure, ce n'est pas pour un sondage vu que personnellement, j'en ai soupé ces dernières semaines, des sondages! Non, je m'explique.  J'adore écrire. Enfin pour être exact, plus j'écris -chansons, blog, dossiers divers et même lettres administratives!- plus je découvre à quel point j'aime écrire. C'est fou, non? D'ailleurs une fois lancée, il m'est souvent difficile de mettre un point final à mes rédactions (j'imagine que vous l'aviez remarqué!).  Résultat, mes chansons durent de 4 à 6 minutes et ne sont pas, selon certains 'professionnels' que nous désignerons ici par Gros Nuls Productions,  [...] conformes aux formats actuels de diffusion et de fait, pas adaptées au public d'aujourd'hui. Nous vous remercions toutefois de nous avoir contactés et vous souhaitons bonne chance pour la suite. Avec nos meilleurs blablabla... Pardon

30. Panne d'aisance....

Ça devait bien finir par arriver un jour... Mais quand même on a beau le savoir, s'y attendre même, ça surprend toujours et puis surtout, ça énerve!  La panne.  Si encore, ce n'était qu'une simple panne de voiture... Bon. Je n'ai pas de voiture, mais il n'empêche, ça pourrait m'arriver quand même! Et là, permettez moi de vous dire que je saurais quoi faire! Pour commencer, je me mettrais en colère et je ferais ça comme il faut: je proférerais tout d'abord rageusement toutes les injures que je connais, au besoin, j'en inventerais quelques-unes. En français d'abord, puis en anglais et pour finir, en espagnol! Il me semble important de conserver un certain panache, même dans l'adversité.  Ensuite, vaguement calmée, un peu nouille, je tournerais à nouveau 7 ou 8 fois la clé de contact sans comprendre pourquoi l'auto ne se remet pas miraculeusement en marche par la simple force de ma volonté? Gourde, je finirais probablement par sortir de

29. Et voilà, c'est fini...

Oui, oui, ok, j'avoue. Je ne me suis pas trop foulée pour le titre de ce message. Je l'ai piqué à Jean-Louis Aubert, qui ne m'en voudra pas trop j'espère, d'autant que, entre nous, il a quand même fait mieux. Mais c'est simple, concis, efficace alors  pourquoi me torturer le cortex pour trouver un titre spirituel? Là, on comprend d'emblée. Donc... Si vous avez un tout petit peu suivi, dimanche dernier, c'était la dernière de mes Chansons à voir aux Théâtre les Blancs Manteaux. Il serait franchement inexact de qualifier ce moment de triste. Et vous savez comme je n'aime pas l'inexactitude! Pourt résumer sobrement, c''était d'enfer! Du monde, des fous rires, un pianiste en pleine forme, une chaleur abominable, une bière infecte, tiède de surcroît, des rappels je ne vous dis que ça, bref tout ce que j'aime!  Pour autant, je me dois d'être honnête et d'avouer, peu fière, qu'une fois rentrée à la maison, j'avai

Le Permis, bientôt le clip?

Eh, oh, les copains, excusez-moi je vous dérange... Z'auriez pas 5€? 10€? Parce que le petit gars là, il va faire un clip d'enfer avec Le Permis, de l'animation!!! Bon, enfin si on trouve les 1000€! 1000€? C'est 200 copains qui nous fileraient 5€... ou 100 copains qui nous fileraient 10€ ou même 10 seulement qui lâcheraient 100€... c'est dingue non? On compte sur vous, et vos amis ;-)

28. Nous les femmes...

Après le Cancer (4 février), le Sida (1er décembre), l'Homophobie (17 Mai), le Tabac (31 Mai), la Faim (15 juin), et même la Prostate (15 Septembre) et la Ménopause (18 Octobre) - j'en passe et des plus invraisemblables! - aujourd'hui 8 Mars, mes bien chères sœurs, réjouissons, car abracadabra, la voici, la voilà, notre journée à nous les femmes! Aaaaaaah!  Avouez que tout de suite, on se sent mieux, non?  Figurer sur la liste des pires fléaux qui menacent l'humanité toute entière au point qu'on y consacre une journée complète, il faut tout de même bien l'admettre les copines, c'est flatteur. Ce qui me gêne un peu par contre, c'est que personne n'ait songé à lancer une collecte au profit de cette belle cause. Alors quoi? Pas de Femmethon (oui, le nom serait certainement à revoir!)? Pas de Femmaction? Personnellement, je trouve ça un peu vexant. Je suppose que pour lancer une Opération Aspirateurs, on pourrait très probablement solliciter

27. Complète!

Hein? Avouez que ça en impose... COMPLÈTE! Telle la galette sarrasine généreusement garnie vous réjouit l'estomac et laisse flotter comme un parfum léger d'embruns bretons, le 4 Février dernier à 17h30, la salle des Blancs Manteaux généreusement garnie de François, du piano et de moi-même, débordait littéralement de bonheur!  Il serait en effet parfaitement inutile de finasser ou de feindre une modestie hypocrite. Non, regardons plutôt la réalité bien en face, il faut bien le reconnaître, en toute objectivité, j'ai assuré! Et certaines personnes - présentes cela va de soi - ajouteront même grave ! (Pardon pour le retard mais vous comprendrez aisément qu'il m'a fallu un peu de temps pour reprendre mes esprits et pouvoir vous faire ici une chronique fidèle de cet évènement sensationnel.) J'aimerais pouvoir retranscrire ici la chaleur électrique de ce moment inouï et d'abord, l'incrédulité devant cette information simple et pourtant déroutante : &

26. Mange une main et garde l'autre pour demain

Je déteste ce proverbe débile. Surtout quand j'ai faim. Pour ceux qui n'auraient pas saisi cette entrée en matière: j'ai faim.  C'est ennuyeux parce que j'ai beau explorer les entrailles de mon frigo, ce dernier reste farouchement vide. Comme pour me narguer. Le fourbe. Vide. Enfin, si l'on excepte le flacon de sauce soja bien sûr, la margarine, les oignons et le bocal de citrons confits. Et aussi cette chose verdâtre et racornie au fond du bac à légumes (du fenouil peut-être?). Bon, j'ai beau avoir faim, je ne peux tout de même pas ingurgiter des citrons aux oignons frits arrosés de sauce soja! Il y a des limites! D'autant que je n'ai pas de Spasfon pour parer aux aigreurs gastriques que ne manqueraient pas de suivre ce joyeux  festin.  Donc, j'ai faim. La situation est d'autant plus cruelle que j'ai le nez dans le montage photo de Kebab a lula depuis plusieurs heures. Il y a plus alléchant, certes. D'ailleurs, si on lui

25. Pourvu qu'elle soit douce...

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Eh bien voilà... On y est. J'aurais aimé, alors que filent lentement les premières heures de 2012, j'aurais aimé disai-je être fine et spirituelle (comme à l'accoutumée, certes!) et vous écrire des vœux de nouvel an qui vous auraient laissés comme deux ronds de flan devant tant de beauté sublime... D'abord, je vous rappelle que je ne suis pas fine et je dois bien le reconnaître, encore moins après les fêtes!  Par ailleurs, hier au soir, j'ai sacrifié à la tradition et arrosé... Enfin je dis arrosé parce qu'il faut bien garder un minimum de dignité.   Non, disons plutôt que, telles les rizières camargaises, j'ai irrigué l'année nouvelle par la méthode dite de submersion. Comprenez par là que j'ai non seulement bu mais que je me suis littéralement retrouvée inondée de Champagne alors que résonnaient les douze coups de minuit et les klaxons rieurs des automobilistes réjouis de célébrer l'année nouvelle dans leur véhicule sur le boulevard